La ville donne naissance à deux écrivains-voyageurs : Albert Londres et Valery Larbaud. En qualité de ville thermale et touristique, elle en voit passer une multitude d’autres, en particulier à une époque peu renommée de son passé, vers juin 1940.
Effectivement, le bâtiment est toujours là et semble être devenu une résidence plutôt haut de gamme mais sans tapage. Le tapage, c’est d’ailleurs ce que semblent redouter les occupants actuels. Une plaque indique effectivement que c’est ici que furent prises les mesures anti-juives mais, bien qu’elle semble avoir été conçue pour être posée directement sur le bâtiment, elle a fini, sur une stèle, dans le jardin public qui se trouve en face. Je suppose que les propriétaires n’ont pas souhaité donner à leur immeuble un encombrant caractère historique et que c’est la municipalité qui a finalement concédé un bout du Parc