163 bis rue Saint-Jacques à Paris, l’auberge que fréquentait Villon.
[…] l’an soixante et ung,
Lors que le roy me delivra
De la dure prison de Mehun
Et que vie me recouvra,
Dont suis, tant que mon cueur vivra,
Tenu vers luy m’usmilier,
Ce que feray jusques il mourra :
Bienfait ne se doit oublier."
Le Testament.
Toutes les demeures du poète ont disparu dans les méandres de l’histoire ou les réaménagements successifs de la capitale, sauf les plus terrifiantes : les (…)