Avec Pascal Dessaint à Toulouse

Le vendredi 1er juillet 2005.

Dans Mourir n’est peut-être pas la pire des choses, Pascal Dessaint mélange comme il sait le faire le macabre, le mystère, le quotidien et la poésie. Des disparitions inexpliquées dans une ambiance de secte et de retour à la nature conduisent l’enquêteur à s’interroger sur sa propre existence.

Ses personnages, on a envie de les rencontrer pour de vrai, si ce n’est déjà fait… Alors allons-y. Balade imagée à Toulouse, le long du canal du Midi.

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Nous passâmes sous le pont des Demoiselles. Une dizaine de péniches étaient amarrées à la berge.
Mourir n’est peut-être pas la pire des choses
, Pascal Dessaint, 2003, éditions Payot et Rivages.
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L’action de Mourir n’est peut-être pas la pire des choses commence avec la découverte du corps de Jéromine Gartner dans un immeuble de sept étages situé place du Fer-à-cheval, entre la rue Sainte-Lucie et la rue Henri-Lavigne.
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Jéromine travaillait aux serres municipales de Toulouse, situées entre le canal du Midi et les rues Edouard-Baudrimont, du Midi et Alfred-de-Vigny.
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Les serres municipales.
Le capitaine Félix Dutrey, chargé de l’enquête y interroge Elisa Moly, une collègue de Jéromine.
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Dutrey habite non loin des serres, au-dessus du Pont Guilhemery.
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Le Pont Guilhemery vu de l’autre rive.
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Le canal du Midi, entre le pont des Demoiselles et le pont Guilhemery. Elisa a sa péniche dans les parages.
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Le canal du Midi, entre le pont des Demoiselles et le pont Guilhemery.


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